27 mars 2011
Désenchantés ?
N’y a-t-il que les extrêmes pour attirer les jeunes ?
"... Comment ne pas être les «enfants du désenchantement» ? 23% des jeunes au chômage, 20% vivant en dessous du seuil de pauvreté, 150 000 sortant chaque année de l’école sans diplôme. Accès difficile au logement, à la santé, charge d’une dette écrasante laissée par la génération précédente. Entre fatalisme et révolte, on peut comprendre la désillusion de cette génération à l’égard de l’action politique incarnée par ses aînés, pour qui le civisme trop souvent était matière à option. Pourtant, ils ne sont pas si dépolitisés que cela. Contrat premier emploi, loi sur l’ADN, réforme des retraites, des universités, les exemples de leur mobilisation ne manquent pas ..."
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